Bijan en quelques mots…

Artiste pluridisciplinaire, Réalisateur, Scénariste, Ecrivain, Poète, Musicien, Compositeur, Auteur de pièces de théâtre, Acteur, Economiste, Producteur, Distributeur.

Bijan en quelques phrases…

D’origine perse, Bijan est un cinéaste indépendant et atypique.
Après ses études à Téhéran puis sur Paris, il a dirigé dans la capitale des ateliers théâtraux de préparation d’acteur.
Sa pratique du cinéma a débuté sur Téhéran.
A travers sa mise en image très personnelle transparaît un regard  unique : poétique, musical et décalé. Ses films dessinent une peinture de personnages, invitent à la réflexion et au rêve.

Bijan en quelques mots…

Artiste pluridisciplinaire, Réalisateur, Scénariste, Ecrivain, Poète, Musicien, Compositeur, Auteur de pièces de théâtre, Acteur, Economiste, Producteur, Distributeur.

bijan_zanitch-khah_realisateur et cinéaste iranien perse

Bijan en quelques phrases…

D’origine perse, Bijan est un cinéaste indépendant et atypique.
Après ses études à Téhéran puis sur Paris, il a dirigé dans la capitale des ateliers théâtraux de préparation d’acteur.
Sa pratique du cinéma a débuté sur Téhéran.
A travers sa mise en image très personnelle transparaît un regard  unique : poétique, musical et décalé. Ses films dessinent une peinture de personnages, invitent à la réflexion et au rêve.

Bijan en quelques films…

Bijan a travaillé en super8 ( 8 mm ) puis en vidéo, et a participé à différents festivals de vidéo avant de réaliser des films cinémas : 3 courts-métrages et un long métrage. 

Bijan_Zanitch_Khah_director_producer_artist_invites you to dream

Bijan en quelques films…

Bijan_Zanitch_Khah_director_producer_artist_invites you to dream

Bijan a travaillé en super8 ( 8 mm ) puis en vidéo, et a participé à différents festivals de vidéo avant de réaliser des films cinémas : 3 courts-métrages et un long métrage. 

Courts métrages

Logo_La Routine_film_BijanZanitchKhah

La routine
( 1996 )

Chacun a sa propre manière de rompre son quotidien. Celle de cet épicier utilise le rêve et l’imaginaire et lui permet de résister toute sa vie aux contraintes de son métier…
-
Durée : 6 mn,
Format: 35 mm, couleurs

Oiseau_Logo_3sequences_film_Bijan ZanitchKhah

Trois séquences
( 1997 )

Festival de PalmSpring
( USA – 1997 ),
Festival des films indépendants
( Paris – 1997 )
-
Un quartier vit étrangement les mêmes évènements. Entre répétition et continuité, ses habitants se révèlent ne pas être ceux qu’on croit.
-
Durée : 9 mn,
Format: 35 mm, couleurs

Logo_Reve de Lac_film_Bijan ZanitchKhah

Rêve de lac
( CM – 1998 )

Plongeons dans un rêve. Un rêve où une nature mystique, nous présente toute sa force, à la fois destructrice et créatrice.
-
Durée : 14 mn,
Format: 35 mm, couleurs

Courts métrages

Logo_La Routine_film_BijanZanitchKhah

La routine
( 1996 )

Chacun a sa propre manière de rompre son quotidien. Celle de cet épicier utilise le rêve et l’imaginaire et lui permet de résister toute sa vie aux contraintes de son métier…
-
Durée : 6 mn,
Format: 35 mm, couleurs

La Routine

Oiseau_Logo_3sequences_film_Bijan ZanitchKhah

Trois séquences
( 1997 )

Festival de PalmSpring
( USA – 1997 ),
Festival des films indépendants
( Paris – 1997 )
-
Un quartier vit étrangement les mêmes évènements. Entre répétition et continuité, ses habitants se révèlent ne pas être ceux qu’on croit.
-
Durée : 9 mn,
Format: 35 mm, couleurs

3 Sequences

Logo_Reve de Lac_film_Bijan ZanitchKhah

Rêve de lac
( CM – 1998 )

Plongeons dans un rêve. Un rêve où une nature mystique, nous présente toute sa force, à la fois destructrice et créatrice.
-
Durée : 14 mn,
Format: 35 mm, couleurs

Rêve de Lac - CM

Long métrage

Logo_Rêve de Lac_2001_film de Bijan Zanitch Khah_noir

Rêve de lac
( 2001 )

Durée : 1 h 56,
Format: 35 mm, couleurs

Rêve de Lac_Affiche du film_Bijan Zanitch Khah

A de rares exceptions, les films d’aujourd’hui nous forcent à suivre, avec plus ou moins de violence, la trame convenue et sans surprise des aventures de quelques stars souvent hollywoodiennes.

Pas Rêve de lac. Ici, le film est une invitation chaleureuse et tranquille à suivre les rêves d’un peintre, à travers son voyage et ses rencontres dans un univers chargé de poésie.

Cette poésie est quelque chose de rare dont Bijan, le réalisateur, teinte chaque plan. Cela doit lui venir de son héritage perse, de la poésie qui a baigné son enfance et forgé l’Histoire de l’Iran.

Dans Rêve de lac, pas de visage connu. C’est aussi son charme. Chaque visage, chaque voix est une surprise. Certains amènent le rire, le sourire, d’autres l’émotion. Les rencontres sont inattendues, et l’on se prend au jeu de la découverte.

Sans précipitation, nous continuons le périple qui conduit Igor vers la réalisation de son rêve.

La nature est belle, et Bijan choisit une lumière naturelle pour éclairer son meilleur profil. On se prend à l’aimer, à vouloir l’admirer plus souvent aussi fraîche et radieuse, moins blessée, moins meurtrie. On découvre des paysages comme on rencontre des gens, sur une musique qui fait fleurir les sentiments.

Ce film est un poème, par sa faculté de distraire et de plaire, de nous faire travailler l’imaginaire et de nous inciter à la réflexion.

Tout devient plus léger, plus sensible…

Cela manquait ces jours-ci.

Bijan Zanitch-Khah, interview à propos de Rêve de Lac, son premier long métrage

Pour ceux qui ne te connaissent pas, qui es tu Bijan ?

Ma vie est un voyage. Mon film, Rêve de Lac, aussi.

Combien de temps as-tu mis pour finir Rêve de Lac ?

Pour ce film, plus de trois ans…. des jours et des nuits d’angoisses et de joies … Mais il ne sera réellement fini que quand il aura rencontré son public, en salle.

Dans Rêve de Lac, on voit pas mal de nouvelles têtes pour le cinéma français ! Comment as-tu choisi tes acteurs et tes actrices ?

La maison de production a accepté ma proposition de faire un libre casting. C’est-à-dire que pour Paris, on a laissé la porte ouverte à tous les acteurs qui voulaient participer au casting. Pour les scènes en Province, on a choisi des acteurs du coin.

Bijan_Zanitch_Khah_realisateur_artiste_cineaste

Normalement, pour leur premier long-métrage, les réalisateurs prennent une tête d'affiche... Ils ont ainsi une actrice ou un acteur connu(e) pour leur apporter du public. Pourquoi tu ne l'as pas fait ?

Ces réalisateurs ont raison, c’est comme tu l’as dit, un coup de main donné par les acteurs au réalisateur pour vendre son film.

J’espère pouvoir attirer le public avec d’autres moyens.
Peut-être en ayant un film où tous les acteurs ont à peu près la même valeur. Quand on les prend, on leur donne une chance de percer dans le métier, si le film marche ! 

Mais il est beaucoup plus difficile de travailler avec des acteurs non professionnels.
Cela demande plus d’énergies et de temps pour les préparer, ce qui coûte cher à la maison de production.

Avec le recul, je me suis aperçu que c’était aussi un peu dangereux… 
Quand on met quelqu’un à l’image qui connaît le métier, qui a déjà l’expérience du tournage, c’est beaucoup plus facile. Les acteurs professionnels qui ont participé sur ce film ont compris la difficulté de faire un film avec un budget réduit. Par cette compréhension, ils ont été solidaires avec moi, parce qu’ils sont conscients, aussi, de la valeur des images qu’ils auront sur l’écran. 

Quelqu’un qui se voit du jour au lendemain en face d’une caméra, sans avoir réellement couru pour faire ce métier, ne comprend pas forcément ce qu’on lui demande sur le lieu de tournage et peut se croire en vacances au lieu de se sentir au travail… 
Ce n’est pas le cas de tous les débutants, mais cela existe. 

Parmi ces « nouveaux-acteurs », il faut s’attendre à ce que certains aient la tête qui gonfle. Espérons qu’elle n’éclatera pas …

Bijan_Zanitch_Khah_realisateur_artist_farsi_auteur

En résumé, prendre des acteurs non professionnels, c'est un risque ?

Absolument, un risque humain et financier… Je ne conseille à aucun jeune réalisateur de fiction de commencer avec des acteurs non professionnels. Cela pose trop de problèmes… Sauf en dessin-animé, bien sûr… ( il rit )

Qu'est-ce qu'on peux révéler au public de ton film ?

C’est un film qui peut toucher des gens de sensibilités différentes. 
Par l’image et par le son,  j’essaye d’apporter quelque chose de nouveau aux spectateurs. 
J’ai voyagé pendant plusieurs années pour faire les repérages de ce film, et j’ai finalement choisi de mettre en valeur dans une fiction quelques quartiers de Paris et des paysages de l’Aude et de l’Ariège.

Je n’aime pas donner un résumé du film, j’aime que le spectateur découvre et interprète librement selon son imaginaire…

Prochain projet ?

Marché conclu !

Bijan Zanitch-Khah, interview à propos de Rêve de Lac, son premier long métrage

Bijan_Zanitch_Khah_realisateur_artiste_cineaste

Pour ceux qui ne te connaissent pas, qui es tu Bijan ?

Ma vie est un voyage. Mon film, Rêve de Lac, aussi.

Combien de temps as-tu mis pour finir Rêve de Lac ?

Pour ce film, plus de trois ans…. des jours et des nuits d’angoisses et de joies … Mais il ne sera réellement fini que quand il aura rencontré son public, en salle.

Dans Rêve de Lac, on voit pas mal de nouvelles têtes pour le cinéma français ! Comment as-tu choisi tes acteurs et tes actrices ?

La maison de production a accepté ma proposition de faire un libre casting. C’est-à-dire que pour Paris, on a laissé la porte ouverte à tous les acteurs qui voulaient participer au casting. Pour les scènes en Province, on a choisi des acteurs du coin.

Normalement, pour leur premier long-métrage, les réalisateurs prennent une tête d'affiche... Ils ont ainsi une actrice ou un acteur connu(e) pour leur apporter du public. Pourquoi tu ne l'as pas fait ?

Ces réalisateurs ont raison, c’est comme tu l’as dit, un coup de main donné par les acteurs au réalisateur pour vendre son film.

J’espère pouvoir attirer le public avec d’autres moyens.
Peut-être en ayant un film où tous les acteurs ont à peu près la même valeur. Quand on les prend, on leur donne une chance de percer dans le métier, si le film marche ! 

Mais il est beaucoup plus difficile de travailler avec des acteurs non professionnels.
Cela demande plus d’énergies et de temps pour les préparer, ce qui coûte cher à la maison de production.

Avec le recul, je me suis aperçu que c’était aussi un peu dangereux… 
Quand on met quelqu’un à l’image qui connaît le métier, qui a déjà l’expérience du tournage, c’est beaucoup plus facile. Les acteurs professionnels qui ont participé sur ce film ont compris la difficulté de faire un film avec un budget réduit. Par cette compréhension, ils ont été solidaires avec moi, parce qu’ils sont conscients, aussi, de la valeur des images qu’ils auront sur l’écran. 

Quelqu’un qui se voit du jour au lendemain en face d’une caméra, sans avoir réellement couru pour faire ce métier, ne comprend pas forcément ce qu’on lui demande sur le lieu de tournage et peut se croire en vacances au lieu de se sentir au travail… 
Ce n’est pas le cas de tous les débutants, mais cela existe. 

Parmi ces « nouveaux-acteurs », il faut s’attendre à ce que certains aient la tête qui gonfle. Espérons qu’elle n’éclatera pas …

Bijan_Zanitch_Khah_realisateur_artist_farsi_auteur

En résumé, prendre des acteurs non professionnels, c'est un risque ?

Absolument, un risque humain et financier… Je ne conseille à aucun jeune réalisateur de fiction de commencer avec des acteurs non professionnels. Cela pose trop de problèmes… Sauf en dessin-animé, bien sûr… ( il rit )

Qu'est-ce qu'on peux révéler au public de ton film ?

C’est un film qui peut toucher des gens de sensibilités différentes. 
Par l’image et par le son,  j’essaye d’apporter quelque chose de nouveau aux spectateurs. 
J’ai voyagé pendant plusieurs années pour faire les repérages de ce film, et j’ai finalement choisi de mettre en valeur dans une fiction quelques quartiers de Paris et des paysages de l’Aude et de l’Ariège.

Je n’aime pas donner un résumé du film, j’aime que le spectateur découvre et interprète librement selon son imaginaire…

Prochain projet ?

Marché conclu !